La région

Voici un bref aperçu du voisinage.

Cardinal était le foyer des Ojibwe et se trouve sur le territoire du Traité No 1.

Visitez notre page Tournée Régionale…

Regardez notre Archive des Cartes de la région.


Norquay
Un petit cimetière qui se trouve à environ 12 kilomètres à l’ouest de Cardinal est le seul repère de ce qui reste du village de Norquay. Charles Holland et Thomas H. Pentland choisirent ce site après qu’une rumeur voulait qu’un chemin de fer traverserait la région. Le nom fut choisi en fonction de l’ancien premier ministre John Norquay.
 
Ce fut une des communauté à disparaître lorsque l’arrivée des chemins de fer créa de nouveaux villages.
 
Même si c’est éloigné de Cardinal, le site est souligné ici à cause que c’était le premier village dans la région générale.
 
Pour une histoire plus exhaustive, visitez :

http://www.virtualmanitoba.com/Places/N/norquay.html






Beaconsfield


De nombreuses communautés avant l’arrivée des chemins de fer ont débutées en guise de bureaux de poste.
Quelques-unes, tel Beaconfield, auraient un nombre limité de services commerciaux. E. J. Folkes avaient un moulin à scie et à bardeaux. James Gorrie était le forgeron. La plupart de ces communautés ne devinrent jamais des villages tels que nous les connaissons, avec des rues et des devantures. Les établissements originaux ont peut-être été rayés de la carte, mais ils retiennent leur identité en tant que communautés.




Beaconsfield United Church (novembre 2016)
Source: Neil Christoffersen

N49.50203, W98.70472

L’église Beaconsfield fut construite en 1903 et 1904. Des services Presbyteriens et Méthodistes y étaient célébrés. Le révérend H. SA. Barton était le ministre Méthodiste. L’église Épiscopale tenait son service à tous les deux dimanches.
Elle devint une église Méthodiste en 1910 et église Unie Beaconsfield en 1925. On arrête les services réguliers en 1955.




Le cimetière Uni de Beaconsfield (juillet 2022)

La première inhumation a lieu en 1883.



Un mounument Militaire commémoratif se trouve sur le site.



Un monument sur le terrain fut dédié en juin 1921.





Cette carte en date du 1887 nous montre Norquay et Beaconsfield. Les symboles indiquent que Norquay avait une école, un bureau de poste et un moulin à blé. Beaconsfield avait une école et un bureau de poste. Notez que Notre-Dame et Cardinal n’existe pas encore et que Somerset n’était qu’un bureau de poste.



Norquay et Beaconsfield sont encore sur la carte en 1893, mais leurs commerces ont fermé et Notre-Dame apparait.



En 1897, Norquay est encore sur la carte. Le bureau de poste, l’école et l’église Anglicane avoisinante sont encore utilisés.



1907





Notre Dame des Lourdes

La région de Cardinal faisait partie de la paroisse de Notre-Dame-de-Lourdes.
 
Les premiers colons, du Québec, arrivent dans les années 1880. Le village est établi en 1891.
 
Le bureau de poste fut établi en 1892 sur le 36-6-9O. Le Père Dom Benoît devint le premier prêtre de la paroisse après son arrivée avec des immigrants Français et Suisses. Il établit aussi un séminaire des Chanoines Réguliers avec à peu près 30 étudiants mais les changements aux règlements provenant de Rome amènent sa dissolution.
 
Le chemin de fer de Stephenfield à Somerset établit Cardinal en 1905 et un tronçon CNR est ajouté reliant Notre-Dame en 1912.



St. Lupicin


Les premiers colons proviennent de France en 1891. On y construit une école, appelée « Faure » en 1898. Les services catholiques se tiennent dans les maisons avoisinant l’école et la chapelle est construite en 1908. On ouvre un bureau de poste sur le SE ¼ Sec. 9, Twp. 6 en 1923.



La région en 1920











Babcock



Commercial Cement à Babcock
Babcock prend le nom du propriétaire du terrain.
 
La Commercial Cement Co. Débute ses opérations en 1907 et cesse en 1924. La matière à partir de laquelle on faisait le ciment provenait des profondeurs dans la colline au sud du chemin de fer et était transportée dans des chariots tirés par des chevaux sur des miles de rails qu’on avait posés dans la mine. C’était une entreprise considérable qui, à son apogée, employait cinquante personnes. Lorsqu’on ferma l’installation, la station ferma aussi assez rapidement et les bâtiments furent déménagés.